Rencontrons-nous !
Un voyage dans la vraie vie d’une coach indépendante… pour faire la paix avec vos erreurs et en faire votre meilleure école de coaching !


Les erreurs juridiques, j’en ai fait un paquet quand je suis devenue coach indépendante. Au point parfois de mettre la pérennité de mon activité en danger.
Puis j’ai rencontré Julie Boisard-Pétrisans et Oriane Ginies, co-fondatrices de Houjo, solution juridique pour les coachs, thérapeutes et pros du bien-être. Je me suis dit que j’aurais bien aimé souscrire à un service comme celui-là plutôt que de réinventer la poudre à mes propres dépens.
Nous nous sommes rencontrées sur LinkedIn où nous avons sympathisé très vite. Cette sympathie mutuelle s’est transformée en webinaire. « Transformez vos galères d’entrepreneurs en atouts » s’appuie sur les erreurs que je relate dans mon livre Chères Erreurs… et sur les erreurs juridiques qu’Oriane et Julie aident leurs client·e·s coachs indépendantes mais aussi thérapeutes et autres pros du bien-être à éviter.
Je me suis fait plumer plus d’une fois pour en pas avoir osé demander un contrat écrit à des partenaires. Après plusieurs mésaventures, je me suis résolue à ne plus jamais travailler sans contrat.
Et là, patatras ! Après des semaines de relances infructueuses, je me fais claquer la porte au nez par ma partenaire. Elle m’accuse d’être procédurière et de ne pas lui faire confiance. J’ai ENCORE cru que c’était de ma faute… Jusqu’au moment où mon mari m’a dit que c’était ma partenaire qui était en tort. Elle ne comptait sans doute jamais me payer. Mieux valait perdre cet argent avant d’avoir fait le travail qu’après.
Un contrat n’est pas un luxe, c’est vital.
Pourtant, je venais d’investir dans des CGV sur-mesure ! J’avais l’impression d’avoir fait un grand pas dans la professionnalisation de mon activité après avoir bricolé pendant des années.
À la première utilisation de ces CGV flambant neuves, le client met fin à ma prestation sans crier gare et. Je me réjouis trop tôt de pouvoir faire valoir les clauses de résiliation anticipée de mes CGV… Jusqu’au moment où je me rends compte que le client m’a renvoyé le bon de commande sans y joindre les CGV signées…
Il me restait mes yeux pour pleurer…
Un contrat intégralement signé, c’est pas un luxe, c’est vital.
Un jeune DRH, pensant bien faire, m’a remis des documents confidentiels concernant une salariée sans son autorisation. Ces documents comprenaient notamment des rapports d’assessment, un profil psychométrique etc. Je me suis fait engueuler vertement par ma superviseure de l’époque car je n’avais pas le droit d’accepter ces documents.
Les documents personnels ne peuvent être partagés que la personne concernée, ou avec son consentement explicite et écrit.
J’ai réalisé ma toute première plaquette il y a plus de 20 ans. À l’époque, les outils de mise en page étaient en pleine démocratisation et il devenait facile de copier-coller des images. J’ai donc été chercher sur internet les logos de mes clients pour en orner ma plaquette. Quelques mois plus tard, je reçois un coup de fil menaçant du service juridique d’une prestigieuse maison de luxe. Cette dernière m’ordonne de retirer leur logo de tous mes supports de communication… Sous peine de poursuites ruineuses pour mon activité professionnelle et mon patrimoine personnel. (S’ils savaient… à l’époque…). Bref, il n’y avait pas grand-chose à saisir sur mes comptes mais j’ai eu très peur.
Je n’ai pas le droit d’utiliser l’identité visuelle de mes clients sans leur consentement explicite et écrit.