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Chères Erreurs, 40 chroniques pour transformer les boulettes en pépites

Un voyage dans la vraie vie d’une coach indépendante… pour faire la paix avec vos erreurs et en faire votre meilleure école de coaching !

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Couverture de Chères Erreurs, de Cécile Gevrey-Guinnebault

Un recueil d’erreurs, pour quoi faire ?

Mis à jour le : 14 février 2025

Objection n°1 : Performance et excellence ne laissent pas beaucoup le droit à l’erreur.

L’erreur n’est pas un frein à la performance, mais un accélérateur d’innovation et d’amélioration continue.

Refuser l’erreur peut donner une illusion de maîtrise, mais c’est souvent un frein à l’apprentissage et à l’adaptation rapide.

Une culture où l’erreur est interdite conduit souvent à la peur, l’inaction et la dissimulation, ce qui nuit à la performance réelle (erreurs cachées, manque d’initiative, absence de feedback constructif).

Récemment, j’ai demandé à un copain qui a travaillé dans des environnements américains et français de me raconter une de ses erreurs. Voilà sa réponse :

“Si on était dans un environnement américain, je le ferais sans hésiter. Tout le monde fait ça là bas. Mais ici (en France), ce serait trop risqué.”

La culture française reste très rigide par rapport à l’erreur. Elle se prive d’un réservoir d’apprentissage disponible (les erreurs sont inéluctables) et efficace.

L’ambition de Chères Erreurs, c’est de faire évoluer ce rapport à l’erreur pour en faire une source de développement individuel et organisationnel.

Objection n°2 : le ton “Bridget Jones du coaching” c’est sympa mais pas assez business

L’humour est un outil puissant pour surmonter des résistances émotionnelles, les plus coriaces quand on veut faire évoluer les mentalités

L’humour facilite l’engagement et permet une prise de conscience douce mais efficace.

On retient bien mieux une idée quand elle est incarnée dans une histoire et associée à une émotion positive. C’est le principe du storytelling émotionnel. Après avoir ri ou s’être identifiés, les gens sont plus enclins à chercher des solutions concrètes.

Dans le livre, je partage mes apprentissages personnels. Dans les organisations où j’interviens, je pars de mes boulettes pour engager la conversation avec des équipes autour de ce qu’elles pourraient apprendre de leurs erreurs. Une fois la glace brisée grâce à l’humour, on peut appliquer des modèles d’apprentissage par l’erreur. Sans ça, la résistance culturelle est souvent trop forte.

L’autodérision est un moyen, pas une fin.

Objection n°3 : “à quoi ça va me servir ?”

Ce livre est un guide pour transformer ses erreurs en levier de croissance personnelle et professionnelle. J’y vois 3 bénéfices :

Gagner en confiance et en audace

Lire ces chroniques aide à dédramatiser l’erreur, donc à oser plus. Les personnes qui ont peur de faire des erreurs hésitent, se censurent et s’empêchent de progresser.

Comment “sortir de sa zone de confort” sans prendre aucun risque ?

Apprendre plus vite et mieux

Mes chroniques montrent, par l’exemple, que chaque erreur, grave ou non, est une source d’apprentissage. La seule condition à cela, c’est de regarder ses erreurs en face.

J’ai entendu un jour l’autrice d’un livre sur le droit à l’erreur dire qu’elle-même n’avait pas fait d’erreurs, ou du moins, qu’elle ne s’en souvenait pas car elles n’étaient pas graves. Que vous inspire son commentaire ?

Affirmer sa posture professionnelle

Dans un monde du travail qui valorise l’agilité et la résilience, savoir accepter ses erreurs et en tirer des leçons est une compétence clé.

Je n’ai pas raconté mes erreurs par pur exhibitionnisme. J’ai raconté ce qu’elles m’ont appris et comment elles m’ont aidée à devenir une professionnelle expérimentée. Nuance.

Faire des erreurs est inéluctable.
Ce qu’elles nous coûtent ne change pas une fois que nous les avons commises.
S’intéresser à ce qu’elles ont à nous apprendre est un choix.

Commandez votre exemplaire de Chères Erreurs sur le site d’Enrick B. Editions

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